Le coaching, un marché qui se spécialise


C’est une tendance en cours et le propre de tout marché arrivé à maturité. C’est une demande des clients. Quand je rencontre un DRH, il me demande tout naturellement quelles sont mes spécialités, mes points forts en terme de thématiques ou de secteurs d’activités. C’est normal.

On ne peux pas être ,ou se prétendre, spécialiste de tout. Il en est ainsi, d’ailleurs, pour toute activité de services aux entreprises.

🔵 C’est notamment le cas en matière de spécialisation sectorielle, tout particulièrement pertinente pour certains domaines d’activités comme la banque et les services financiers mais aussi l l’Industrie ou le Luxe.

➡ Cette spécialisation est de nature à apporter une vraie valeur ajoutée pour le client. Elle est aussi source de légitimité pour le coach.

➡ Les entreprises ont tout intérêt à disposer d’un réseau de coachs aux profils diversifiés à même de répondre à leurs différents besoins et ayant une bonne compréhension de leur secteur d’activité.

➡ Cette familiarité avec le secteur d’activité est critique pour bien comprendre les enjeux professionnels des coachés et de bien les accompagner dans certaines thématiques, pour aider à trouver la bonne posture de management et de leadership, ou pour une prise de poste, ou encore pour une transition professionnelle, entre deux postes ou deux entreprises.

⚫ L’évolution est notable par rapport à l’approche très généraliste qui prévalait jusqu’alors. C’est un aggiornamento à faire pour certaines institutions qui ont du mal à bien coller aux besoins de leurs candidats aux coaching, frustrés parfois du manque de pertinence sectorielle du coach qui leur a été attribué , comme j’ai pu le constater encore récemment. Question de ‘’toucher de balle’’ aurait dit un grand ancien.

🔴 Les coachs ont à s’adapter à cette nouvelle donne,  à se différencier et à ajuster,  en conséquence, leur positionnement en fonction de leur formation et de leur expérience.

Dans cet esprit, mon site internet précise très clairement mes thèmes et secteurs de prédilection.

Précédent
Précédent

Syndrome de l’imposteur, avantage comparatif ?

Suivant
Suivant

Sur la crise professionnelle de la quarantaine (suite)